« Tête d’affiche : Stéphanie Pothier, une véritable entrepreneure… lyrique! »

Portrait et entrevue par Daniel Turp, 16 avril2021

https://www.revuelopera.quebec/articles/2021/04/tete-daffiche-stephanei-pothier-une-veritable-entrepreneure-lyrique-1?fbclid=IwAR1w81PqIpnETZF7KRLCgVdyDWi487tKQ0o2YeQqpSA4txaHO5VAA1CRsAs

 

Entrevue à Radio-Canada Toronto à propos du concert Camille Claudel : dans l’ombre du géant

https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/dans-la-mosaique/episodes/532230/rattrapage-du-mercredi-12-mai-2021/8?fbclid=IwAR2dKuoxwfydZFzKEVNq5-n-4Dh34fiIzEQYTHgIGJyyZF6AFhifrL-FgzU

 

Entrevue à Radio-Canada Estrie à propos du concert Camille Claudel : dans l’ombre du géant

https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/vivement-le-retour/episodes/532415/rattrapage-du-mercredi-12-mai-2021/2?fbclid=IwAR2B-6hMyJIBeIFgBk0QDI5b6qVvDS6vTwxnPiSTvGRg4SxrHmXHgNTVdkc

 

 

 

"Lotus Lives : de l’opéra au slam en passant par le théâtre d’ombres"

Article et entrevue par Frédéric Cardin, 2 avril 2018

Ludwig van Montréal

 

https://www.ludwig-van.com/montreal/2018/04/02/opera-lotus-lives-de-lopera-au-slam-en-passant-par-le-theatre-dombres/

 

 "Faculty Collaborate on Canadian Premiere of Opera Lotus Lives"

Entrevue et portrait, 26 mars 2018

 

http://www.middlebury.edu/newsroom/archive/2018-news/node/568593

 

 "La musique d’une vie"

Portrait par Jean-François Gagnon, 19 décembre 2017

La Tribune

 

https://www.latribune.ca/arts/la-musique-dune-vie-99cfb5f0be7511b29df3abc9da4224b4

 

 "Stéphanie Pothier, de Mozart à Pink Floyd"

Portrait et entrevue, 26 février 2017

Le Reflet du Lac

https://www.lerefletdulac.com/stephanie-pothier-de-mozart-a-pink-floyd/

 

 "Une Estrienne dans l’opéra Another Brick in the Wall"

Entrevue, 4 mars 2017

 

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1019826/une-estrienne-dans-lopera-another-brick-in-the-wall

 

Entrevue radio à Radio-Canada Estrie concernant Parsifal  au Festival de Lanaudière, 4 août 2017

https://ici.radio-canada.ca/premiere/emissions/Ecoutez-l-estrie/segments/entrevue/33648/magogoise-chant-classique-opera-montreal-yannick-nezet-seguin-estrienne

 

Critiques de concerts et d'opéras

De la mer aux nuages
Concert multimédia de Projet ClairObscur

Avril 2023

 

 "C’est tout simplement renversant. Tous les ingrédients sont réunis pour que l’événement nous hypnotise : la voix chaleureuse et expressive de Stéphanie Pothier, le doigté tendre et coloré de Rosalie Asselin, les images magnifiées et la musique brillamment réalisée par Julien-Robert, le tout trouvant son écrin dans la scénographie d’Anne-Sara Gendron. (...) Je ne peux qu’être ébloui par le travail et la vision d’artiste que propose Stéphanie Pothier, ici bien plus qu’une chanteuse, mais bel et bien une artiste multidisciplinaire, dont l’apport des créateurs qui font équipe avec elle contribue à créer une œuvre unique, sensible et touchante."

L'Opéra, revue québécoise d'art lyrique, par Éric Champagne

https://www.revuelopera.quebec/critiques/2023/05/critique-laissez-vous-emporter-par-le-flot

 

 

Yourcenar - une île de passions, opéra d'Éric Champagne sur un livret d'Hélène Dorion
Co-production Festival d'opéra de Québec-Opéra de Montréal-Violons du Roy, juillet-août 2022

"La mezzo-soprano Stéphanie Pothier domine la scène et a littéralement pris possession de son personnage : sa voix d’une grande richesse épouse les sentiments, les aspirations et les tiraillements de Yourcenar, qu’elle rend attachante et passionnée."

L’Opéra, revue québécoise d’art lyrique, par Irène Brisson

https://www.revuelopera.quebec/critiques/2022/08/critique-festival-dopera-de-quebec-yourcenar-a-lopera-servie-par-des-voix-remarquables

 

« Stéphanie Pothier, digne et solide dans le rôle-titre, est admirable. Sa voix est chaude, maîtrisée, magnifique. »

Ludwig van Montreal, par Caroline Rodgers, 5 août 2022

https://www.ludwig-van.com/montreal/2022/08/05/critique-yourcenar-une-ile-depourvue-de-passions/

 

« La mezzo-soprano Stéphanie Pothier, quant à elle, a donné le sentiment de se fondre corps et âme dans le personnage de Marguerite, à la fois dans ses élans et dans ses souffrances. »

La Scena Musicale, par Justin Bernard

https://myscena.org/fr/justin-bernard/yourcenar-une-poesie-en-mots-et-en-images/

 

« Ainsi, Stéphanie Pothier en Marguerite, Kimy McLaren en Grace, Hugo Laporte en Jerry, pour ne nommer que les trois rôles principaux, nous offrent de sublimes moments opératiques. Il et elles sont criant·es de véracité, sensuel·les, emporté·es par des désirs contradictoires. Tout se joue dans la précision, la subtilité d’un regard, d’un geste, d’une hésitation. »

Revue JEU, par Alain-Martin Richard

https://revuejeu.org/2022/07/29/ile-passions-lieu-tourments/

 

« Des chanteurs, c’est naturellement la mezzo-soprano Stéphanie Pothier qui s’impose dans le rôle-titre, avec une voix assurée et une concentration de chaque instant. »

La Presse, par Emmanuel Bernier, 29 juillet 2022

https://www.lapresse.ca/arts/musique/2022-07-29/yourcenar-a-l-opera/entre-simplicite-et-emotion.php

 

« Tout au long de l’opéra, Marguerite Yourcenar est déchirée par des tensions intérieures. Elles sont jouées par Stéphanie Pothier, l’interprète de l’écrivaine, d’une manière si douce et si intense à la fois que le spectateur ne peut qu’être déchiré à son tour. (…) Le spectateur est immergé dans l’émotion, la passion, la vulnérabilité, mais surtout dans les contradictions assumées qui font de Marguerite Yourcenar ce qu’elle est. (…) Assise sur mon siège, je me sentais étrangement proche d’elle. »

Atuva.ca, par Sophie Archambault, 5 août 2022

https://www.atuvu.ca/fil-culturel-actualite-culturelle/montreal-ete/yourcenar-une-ile-de-passion-un-opera-saisissant-entrevue-avec-helene-dorion

 

« (…) un beau moment d’opéra avec les voix croisées de Richer, Laporte et Stéphanie Pothier. »

Le Journal de Québec, par Yves Leclerc, 29 juillet 2022

https://www.journaldemontreal.com/2022/07/29/festival-dopera-yourcenar-en-deux-temps

 

 

 

Critiques de Camille Claudel : dans l’ombre du géant

Projet ClairObscur

Mai 2021

 

 

« Je n’ai pas décroché une seconde, envoûtée tant pas les prouesses vocales de Stéphanie Pothier, qui livre une prestation époustouflante, que par la richesse de la partition, rendue avec virtuosité et justesse par le Quatuor Molinari.

Artiste déterminée et persévérante, Stéphanie Pothier a su mener ce projet sur Camille Claudel en se basant sur la force de son contenu, et un traitement intelligent de celui-ci. Bravo. »

Caroline Rogers, Ludwig Van Montréal, 29 avril 2021

 

https://www.ludwig-van.com/montreal/2021/04/29/critique-camille-claudel-stephanie-pothier-molinari-chaudement-recommande/

 

 

« Dans les deux premières œuvres au programme, l’aspect multimédia contribuait donc à la création ou au renforcement du caractère musical, sans liens directs avec le contenu du texte chanté (dans les Bilitis) ou la compositrice (dans le quatuor). Avec Camille Claudel : Into the Fire, le projet de visualisation de l’œuvre musicale atteint un tout autre niveau. Il ne s’agit plus d’un ajout d’images à la musique – très beau et efficace, certes, mais somme toute très libre –, mais d’une compénétration des deux. Dès le prélude instrumental – dont le thème de valse montmartroise rappelle l’univers d’Amélie Poulin –, accompagné par la projection d’une plaque commémorative reportant un fragment d’une lettre de Camille Claudel à Rodin (« il y a toujours quelque chose d’absent qui me tourmente »), le jeu est clair. Chacune des six mélodies suivantes sera un dialogue entre, d’un côté la voix de Camille Claudel réinventée par le librettiste et interprétée par la chanteuse, et de l’autre des sculptures de Camille Claudel ou qui la représentent (à la fin, dans l’épilogue, ce seront des photos, une injection de réalisme pour affirmer, comme dans un film, que c’est « basé sur une histoire vraie »). Ainsi, dans « Rodin », ce dialogue est avec le buste de Rodin, dans « La valse », c’est la sculpture éponyme (celle que possédait Debussy) qui se montre aux écrans, et Vertumne et Pomone, variante de Sakountala dans « Shakuntala ». »

Federico Lazzaro, L’Opéra, revue québécoise d’art lyrique, 16 juillet 2021

 

https://www.revuelopera.quebec/critiques/2021/07/lumiere-projetee-sur-lombre-des-geants

 

Magnitude6, direction: Dina Gilbert

Lotus Lives, opéra multimédia - Su Lian Tan

Rôle: Lily 

Avril 2018, Le Gesù

"À retenir surtout: la mise en scène colorée et dynamique de Claudio Medeiros et la performance époustouflante de Stéphanie Pothier, mezzo-soprano, qui chante (bien sûr), mais qui joue, qui danse et qui termine le tout avec un slam impressionnant."

Frédéric Cardin, 7 avril 2018, Place à l'opéra

 

 

I Musici de Montréal, direction: Andrew Megill

Cantates BWV 92, 105 et 111, dans le cadre de l'Intégrale des Cantates de Bach de la Fondation Arte Musica

Janvier 2018, salle Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal

"Reste la mezzo-soprano, que nous entendions pour la première fois. Stéphanie Pothier possède une voix magnifique, sombre et puissante. Elle n'avait que deux récitatifs et un duo à chanter, mais elle a rendu les premiers avec un sens du drame tout aussi saisissant que Kennedy, et sa ligne dans le duo avec une solidité sans faille. Espérons que nous aurons le plaisir de la réentendre dans des cantates mettant mieux sa voix en valeur."

Guy Marchand, L'Opéra, revue québécoise d'art lyrique, no 15, printemps 2018

 

 

Orchestre métropolitain, direction: Yannick Nézet-Séguin

Parsifal, de Wagner

6 août 2017, Festival de Lanaudière

"Et il faut savoir gré à Nézet-Séguin d'avoir associé des artistes lyriques du Québce à cette fascinante aventure qu'a dû être leur Parsifal de Lanaudière, dans les rôles des chevaliers et des écuyers du Graal et des six filles-fleurs. La voix céleste de Stéphanie Pothier a été particulièrement apprécié du public lanaudièrois."

Daniel Turp, L'Opéra, revue québécoise d'art lyrique, no 13, automne 2017

 

 

 

Société philharmonique du Nouveau Monde, direction: Michel Brousseau

Requiem, de Mozart

18 décembre 2017, Basilique Notre-Dame de Montréal

"The soloists showed great vocal form, even without considering that this was the second of two shows in the same day. (...) The resst of the solosits also did an admirable job. The blend of the four voices sounded natural, harmonious ad balanced when they sang together."

Adrian Rodriguez, La Scena Musicale, 20 novembre 2017

 

 

Opéra de Montréal

Another Brick in The Wall - L'Opéra - Julien Bilodeau

Rôle : Vera Lynn

du 11 au 27 mars 2017

 

"Parmi les rôles secondaires, tous très bien tenus, on remarque Stéphanie Pothier, qui fait entendre un magnifique timbre de mezzo en Vera Lynn."

 

L’Avant-Scène Opéra, Louis Bilodeau, 11 mars 2017

 

"Ingrédients magiques : (…) l’apparition d’une vraie-fausse Vera Lynn chantant pour de vrai We’ll Meet Again dans un tableau rappelant Le bal d’Ettore Scola."

Le Devoir, Christophe Huss, 11 mars 2017

 

"Solide et convaincante sur toute la ligne, la distribution a conquis le public avec en tête le très en voix baryton Étienne Dupuis (…) sans oublier l’excellente mezzo-soprano, Stéphanie Pothier, (Vera Lynn)."

atuvu.ca, Daniel Raymond, 13 mars 2017

 

"Et quelle bonne idée que les retrouvailles imaginaires des parents de Pink, où on ne se contente plus d'évoquer la chanteuse Vera Lynn, qui s'invite sur scène pour interpréter une We'll Meet Again très jazz age, qui cristallisait à l'époque l'espoir du retour des soldats britanniques partis au front."

La Presse, Alain De Repentigny, 13 mars 2017

 

"D'ailleurs, avec ce relent de Première Guerre, et le père de Pink qui meurt à la Deuxième, quand arrive le personnage de Vera Lynn (excellente Stéphanie Pothier), pour chanter "We'll meet again / Don't know where / Don't know when", on a un petit frisson, et l'impression que c'est de la Troisième qu'elle parle..."

Réjean Beaucage, 12 mars 2017

 

"The "We would meet again some sunny day" part of "Vera" is now a Roaring Twenties hot-jazz rave-up – leading to a moving, full-company rendition of "Bring the Boys Back Home," complete with a display of the Eisenhower quote Waters was projecting on the wall of his most recent tour."

Rolling Stone, Kory Grow, 12 mars 2017

 

"Etienne Dupuis does a great job as Pink (...). But the forces that really pull this effott together are the combined effort of Dupuis, France Bellemare (the Mother), Caroline Bleau (the Woman), and Stephanie Pohtier (Vera Lynn). The entire cast is superb, but it is these four that hold the effort together and who help this effort stand apart from all formats."

www.brain-damage.co.uk, Ed Lopez-Reyes, 12 mars 2017

 

"Côté trame narrative, on assiste tout de même à quelques très beaux moments. Outre l'ouverture, on peut penser à l'ajout du personnage de Vera Lynn (...). Elle est ici personnifiée par Stéphanie Pothier et ça donne lieu à l'un des meilleurs moments de la présentation: un intervention valsée presque jazz au milieu du deuxième acte. Suivi de la très belle Bring the Boys Back Home, c'est réellement l'un des (...) moments à avoir suscité des émotions chez moi." 

www.feuavolonte.com, Mathieu Aubre, 14 mars 2017

 

Récital "...le bout cassé de tous les chemins..."

29 octobre 2017, Salle Joseph-Rouleau des JMC

"De merveilleux interprètes, enfin, ont ouvert devant nous cette musique qui enveloppait la poésie dans un écrin. Citons Stéphanie Pothier qui, outre sa voix chaleureuse et vibrante et sa diction impeccable, a su pénétrer le sens profond des oeuvres; elle était accompagnée au piano par Rosalie Asselin, constamment attentive au jeu de la chanteuse et Pascal Blanchet, dont la lecture d'un choix de textes intercalés entre chaque moment musical a donné à ce concert toute sa cohérence."

Marie-Thérèse Lefebvre, L'Opéra, revue québécoise d'art lyrique, hiver 2017 "Stephanie Pothier: Un moment de beauté inoubliable"

 

 

Festival de Lanaudière 2015, Orchestre Métropolitain, Yannick Nézet-Séguin

Messe no 3, de Bruckner

4 juillet 2015, Amphithéâtre Fernand-Lindsay, Joliette

 « Dans la Messe de Bruckner, très post-Missa solemnis (l’oeuvre de Beethoven que l’on entendra en fin de festival), le chef a montré un flair très avisé en réunissant une distribution de solistes très pertinente avec des chanteurs tous formés au Québec. »

Le Devoir, 6 juillet 2015, Christophe Huss, « Le domaine des dieux »

 

 

Orchestre de chamber McGill, direction : Boris Brott

Neuvième symphonie, de Beethoven

9 juin 2015, Maison symphonique de Montréal

 « Du côté des solistes, on notera l’excellente présence de Gordon Bintner et Antoine Bélanger, ainsi que la sobriété assurée de la mezzo Stéphanie Pothier. »

Le Devoir, 10 juin 2015, Christophe Huss, « L’hymne à la joie de l’Orchestre de chambre McGill »

 

 

Orchestre symphonique de Québec, direction :  Daniel Lipton

Gala de l’Opéra de Québec

11 décembre 2014, Grand Théâtre de Québec

 « Toutefois, les moments les plus forts de la soirée seront les trois dernières pièces. Lyne Fortin, Stéphanie Pothier, Luc Robert et Gregory Dahl en quatuor nous offrent brillamment un air de Rigoletto de Verdi. »

Info-culture.biz, 12 décembre 2014, « Grande soirée de Gala réussie et éclatante de l’Opéra de Québec au Grand Théâtre de Québec »

 

 « Stéphanie Pothier, seule mezzo-soprano du panel, a servi des airs de Carmen, du Barbier de Séville et de Rigoletto avec une théâtralité appuyée. »

Le Soleil, 12 décembre 2014, Josianne Desloges, « Étincelant feu roulant »

 

 

Choeur classique de Montréal et Orchestre symph. des jeunes de Montréal, direction : Louis Lavigueur

Concert d’extraits d’opéras

13 juin 2014, Maison symphonique de Montréal

 « Stéphanie Pothier en Carmen lance un «Prends garde à toi!» de mezzo bien timbré et incarne avec dignité l'agonisante Didon »

La Presse, 14 juin 2014, Claude Gingras, « La soirée de Rouleau et Lavigueur »

 

 

Chants Libres, Nouvel Ensemble Moderne, direction : Lorraine Vaillancourt

L’eau qui danse, la pomme qui chante et l’oiseau qui dit la vérité, de Gilles Tremblay

Novembre 2009, Monument National

"Une distribution solide, habilement encadrée par Robert Bellefeuille, a transmis l'oeuvre avec brio.  Je retiendrai particulièrement (...) la gestuelle d'oiseau de la mezzo Stéphanie Pothier"

Clavier bien tempéré, 20 novembre 2015, Lucie Renaud, « Ravissement pour les yeux et les oreilles »